Tuesday, April 28, 2009

Destination: Greenland -- Polar Bears Pass Through Town

Destination: Greenland -- Polar Bears Pass Through Town

from Larry Lunt: April 27,09

This morning was our last in Qaanaaq. During breakfast at our guest house, our host fed us one last polar bear story.

This year they have seen a record number of polar bears passing through the edge of town -- 10 sightings over the past six weeks, when it started getting light out after the long, dark Arctic winter. The reason is that the open sea is gradually moving closer to the village as the sea ice melts.

The good news for us is that it is not a dangerous time of the year for polar bear attacks. They only attack people when they are really hungry, which is only in the fall, as the winter darkness draws nearer and it becomes harder to catch seals. Even then they’re really only a risk when they haven’t eaten enough during previous months. (Polar bears need to start off the winter with a full stomach.)

At this time of the year, the females are with their babies and tend to run away from people. Males are busy looking for females and occasionally kill the babies out of jealousy. It’s also prime-time seal-hunting season -- April, May, June -- so they’re not very interested in us. They are not familiar with our smell and apparently are not attracted by our meat.

With these reassuring words, we depart on our skis pulling our 100-pound sled, which we call Moby Dick as it looks like a whale moving slowly, quietly, heavily. (I’ll send photos later.) Since we are traveling away from the open sea toward the end of the fjord, we won’t have many run-ins with bears. That means we will have to wait for when we reach the other side of the peninsula in a week for our next polar bear photo op. Just in case, we carry a gun (a Magnum 44) in the very rare case where we encounter a curious one. We don’t intend to shoot the bear. Our plan is to shoot in the air, which typically scares them away.

Enough about bears. Our first big day on skis is over now. The weather was beautiful: sunny, very little wind, temperature around zero degrees Fahrenheit (That’s about -18 degrees Celsius, and yes, that’s good weather here!). We skiied across the flat sea ice to Bowdoin Fjord, where we set up camp. Nine hours, 27 kilometers. It was a perfect day.

Saturday, April 25, 2009

Destination: Greenland -- A Village Relocated

Destination: Greenland -- A Village Relocated

by Larry Lunt April 22, 2009: Last night we ate a curious looking steak. After we finished, I was told that it was whale! That explains the fishy taste of it.

This morning we flew to Qaanaaq--a four hour flight with a stop to refuel in a 12-seat propeller plane (a Dash 7) that makes the flight once every week. We finally arrived at our destination--the northernmost community on planet. Here in Qaanaaq, 600 Inuits live permanently in near-complete isolation... [full report at: http://www.onearth.org/node/1081 ]

Friday, April 24, 2009

North Pole soon!

Too hot where you are? follow Pax Arctica 2008-partner Sebastian Copeland North Pole expedition at http://www.myspace.com/sebastiancopeland

Photo of Sebastian Copeland

Thursday, April 23, 2009

Destination: GREENLAND


My good friend and Antarctic partner Larry Lunt just left for Greenland. Here is the link to know more every day: http://www.onearth.org/greenland

Monday, April 20, 2009

Arctic Transitions - BOOK TOUR!


Luc Hardy on tour for book "Arctic Transitions - Witness to Change: Young Ambassadors in Nunavut"

Saturday, May 30 10:00a
at Just Books, Old Greenwich, CT

http://www.justbooks.org/

Come meet local author & adventurer Luc Hardy

Thursday, April 16, 2009

Michel Rocard chez les Empereurs :-)

Michel Rocard chez les pingouins
Michel Rocard revient pour Terra eco [a great media site by the way - LH] sur les implications de sa nouvelle mission. Il a été nommé le 18 mars dernier ambassadeur de France en charge des négociations internationales sur les pôles arctique et antarctique.
http://www.planete-terra.fr/Michel-Rocard-chez-les-pingouins,1219.html

- D’où vient votre intérêt pour la défense des régions polaires ?

C’est une longue histoire. Quand j’ai eu le bonheur en 1988 de contribuer à stopper la guerre civile à l’oeuvre en Nouvelle-Calédonie, cela m’a valu un certain respect dans l’océan Pacifique. En 1989, le 1er ministre australien, en visite en France, m’a fait part de sa position isolée sur la scène internationale. Il ne souhaitait pas ratifier le 3ème protocole complémentaire au traité de l’Antarctique, qui autorisait l’exploitation du pétrole dans la région. Je lui ai apporté mon soutien, et nous avons signé 3 ans après le protocole de Madrid, qui consacre la protection absolue de l’environnement en Antarctique. Interdiction y est faite d’exploiter des ressources minérales et d’y mener toute activité autre que de recherche scientifique. L’Antarctique a été déclaré Terre de science, réserve naturelle de l’humanité. Tout ce que j’ai appris à l’issue de cette bataille a fait naître en moi une passion pour ces sujets. La communauté scientifique polaire française m’a ensuite sollicité sur l’Arctique, où les glaces fondent à toute allure, où il y a du pétrole en réserve et où des marées noires peuvent menacer sans que personne ne sache comment les traiter. Il faut absolument protéger l’Arctique.

- De quelle marge de manœuvre dispose la France sur ces questions ?

La France n’est pas un pays riverain de l’Arctique. Elle n’est pas non plus un armateur de flottes immenses, mais elle est membre de l’UE. Or celle-ci comporte le Danemark, qui, via le Groenland, se trouve être riverain de l’Arctique. Voilà pourquoi l’UE a demandé à être représentée au conseil arctique. La France peut donc être influente au travers la diplomatie européenne. Dans l’immédiat, mon travail consistera à préciser les lignes diplomatiques d’offensive dans tous ces domaines et de jumeler cela avec les négociations mondiales sur le climat.

- Concrètement, quelles vont être vos premières démarches ?

Je dois d’abord rencontrer les ministres des Affaires étrangères des pays riverains et de quelques grands autres afin de trouver une plate forme d’objectifs communs. Je vais les écouter pour définir les objectifs que la diplomatie internationale pourrait se donner à propos de l’Arctique. Il faudra trouver un large consensus chez les riverains et chez les autres. Si l’océan arctique devient navigable, ce qui est possible d’ici une dizaine d’années, tout le monde va y avoir des intérêts, à commencer par la Chine et l’UE, deux gros commerçants. Mais je ne suis pas capable aujourd’hui de décrire une méthode d’action. Il faut d’abord arriver à une batterie d’objectifs concernant la sécurité maritime, la préservation de l’environnement, et la lutte contre les accidents. Aujourd’hui, rien de tout cela n’existe. L’obstacle sera la somme des intérêts nationaux, car la prise de conscience ne suffit pas à vaincre les intérêts pétroliers, surtout du fait de la rareté de la ressource. Si l’on devait forer intégralement tous les gisements disponibles dans l’Arctique, on doublerait la production de gaz à effet de serre, ce qui est extrêmement inquiétant. Ma mission est un beau combat. C’est en tout cas la reprise de celui que j’ai commencé avec l’Antarctique il y a tout juste 20 ans.

LES SOURCES DE CET ARTICLE :

Crédit photo : Le Cercle Polaire, une ONG qui édite le premier journal électronique francophone dédié aux régions polaires

Plus sur le premier voyage de Michel Rocard en Antarctique avec Le Cercle Polaire sur le site du Nouvel Obs

Saturday, April 11, 2009

Why Didn’t Scientists Recognize Global Warming Sooner?

Some did. In 1958, the National Academy of Sciences published a booklet titled “Planet Earth: The Mystery with 100,000 Clues,” which contained this prescient paragraph:


Our industrial civilization has been pouring carbon dioxide into the atmosphere at a great rate. By the year 2000 we will have added 70 percent more carbon dioxide to the atmosphere. If it remained, it would have a marked warming effect on the earth’s climate, but most of it would probably be absorbed by the oceans. Conceivably, however, it could cause significant melting of the great icecaps and raise sea levels in time.http://www.extremeicesurvey.org/index.php/glaciology/

Sunday, April 5, 2009

Again...

WASHINGTON (Reuters) - One Antarctic ice shelf has quickly vanished, another is disappearing and glaciers are melting faster than anyone thought due to climate change, U.S. and British government researchers reported on Friday.

They said the Wordie Ice Shelf, which had been disintegrating since the 1960s, is gone and the northern part of the Larsen Ice Shelf no longer exists. More than 3,200 square miles (8,300 square km) have broken off from the Larsen shelf since 1986.

Climate change is to blame, according to the report from the U.S. Geological Survey and the British Antarctic Survey, available at pubs.usgs.gov/imap/2600/B.

Wednesday, April 1, 2009

Militarisation de l'Arctique?

http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2009/03/28/le-canada-intraitable-sur-sa-souverainete_1173735_3222.html

Le ministre canadien des affaires étrangères, Lawrence Cannon, a dû, par deux fois en une semaine, réaffirmer avec force la souveraineté du Canada sur son espace maritime. Vendredi 27 mars, il réagissait à l'annonce d'une nouvelle stratégie russe prévoyant de militariser l'Arctique. Deux jours plus tôt, il condamnait la revendication par la France de renégocier ses droits sur le plateau continental entourant l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon.

"Nous sommes intraitables sur la défense de la souveraineté canadienne sur l'Arctique à l'égard de nos alliés et des pays qui pourraient avoir des velléités à l'attaquer", a martelé M. Cannon. Il a précisé qu'il en parlerait "dans un avenir proche" à son homologue russe.

Le même jour, le Kremlin venait en effet de rendre publique son intention de déployer des forces militaires dans l'Arctique pour "défendre ses intérêts" dans une région qui recèle d'immenses ressources convoitées par la Russie et le Canada et également par le Danemark, la Norvège et les Etats-Unis. Les Russes affirment que toute une partie des fonds marins de l'Arctique sont la propriété de Moscou parce qu'il s'agit d'un prolongement du plateau continental sibérien. La Russie a déposé un dossier auprès des Nations unies sur cette question.

Deux jours avant cette polémique sur l'Arctique, Ottawa s'était déjà senti attaqué sur un autre "front", celui de l'Atlantique. M. Cannon avait alors "déploré" la décision française de rouvrir le dossier de la délimitation du plateau continental de Saint-Pierre-et-Miquelon, archipel proche des côtes canadiennes de Terre-Neuve. L'enjeu porte, là aussi, sur l'exploitation de ressources pétrolières et gazières sous-marines.

La ministre française de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, avait annoncé mercredi le dépôt "d'ici le 13 mai", à la Commission des limites du plateau continental de l'ONU, d'une lettre d'intention pour "préserver les droits de la France". M. Cannon affirme, lui, que "le Canada prendra toutes les mesures nécessaires pour défendre et protéger ses droits sur le plateau continental canadien".

"NE PAS REVENIR EN ARRIÈRE"

L'affaire pourrait relancer la polémique des années 1980 sur la délimitation des eaux territoriales et zones de pêche des deux pays au large de l'Est canadien. "C'est un incident qui ne devrait pas entacher leurs excellentes relations", pense Stéphane Roussel, un spécialiste de la politique étrangère canadienne. Le Canada estime que le différend a été réglé "de manière définitive" en 1992.

L'archipel français s'était alors vu octroyer une zone économique exclusive de 12 milles marins à l'est et de 24 milles à l'ouest, avec un corridor nord-sud de 200 milles de long par 10 milles de large. L'intérêt économique de cette zone reposait alors sur la pêche à la morue, dont les stocks se sont, depuis, effondrés. En revanche, du gaz et du pétrole ont été découverts non loin de là.